jeudi, août 03, 2006

Gone...

with the sun, but not for very long.

bises!

lundi, juillet 31, 2006

Les recettes de cuisine de Welda : n°1

je vous vois venir, aussi j'aime autant vous dire de suite : non, je ne suis pas un cordon bleu, loin de là. En plus, je suis très très paresseuse en matière de cuisine. Ne vous attendez donc pas à des recettes miraculeuses ou mirobolantes, ce sera beaucoup plus B-A-Basique que ça.
Mais comme j'ai trouvé encore plus simpliste que moi en matière culinaire, je me permets de communiquer mes recettes sur ce blog. Sait-on jamais, ça pourrait servir à quelques autres curieux qui passeront par là, pour peu qu'ils viennent de quitter le foyer maternel et soient désespéremment en quête de recettes de survie.... :-)

Donc, recette n°1 : le gaspacho.

prends, mon amie, ou qui que tu sois d'autre,
un bon kilo et demi de tomates,
d'authentiques tomates,
dignes de ce nom.
(débusque l'ennemi fadasse
qui vient du Nord
et traque la perle rare
de ta Terre Natale)

Ceci étant fait, tu trouveras plus facilement
1 long concombre bien juteux
et 1 ou 2 poivrons.
Rouges les poivrons pour une soupe fruitée.
Vert pour un résultat plus rude.
tout dépend si tu te vois au bord de mer,
ou sur les arides coteaux de l'arrière pays.

Et n'oublie pas 2 gousses d'ail
qui feront, en quelques sortes,
les cerises sur le gateau.

Sonne ensuite chez tes voisins
pour emprumpter un bon mixer.
(sans lui, hélas,
point de, délice)
Voisins d'en face, voisins du dessus.
Voisins de dessous, voisins de partout.

épluche le concombre.
fais de même avec les tomates
(en les ayant plongées préalablement,
dans de l'eau bouillante, rapidement).
dans un grand plat profond,
coupe, découpe, prédécoupe,
ajoute l'ail hachée puis mixe,
agrémenté d'un bon filet d'huile d'Olive et d'une pointe de sel*.

Et voila!
Se consomme très frais,
et sans aucune modération,
du tout du tout!



*poivre, tabasco, piment de Cayenne en option.




mercredi, juillet 26, 2006

puisque c'est ainsi, voici :

pour Philippe et Gantures,

mais aussi, pour le poête de 4 sous, aragon, Cualli tonalli, Morgane, le chat-terre, Feu les 4 chemins ( six pieds sous terre et l'âme au ciel et les larmes aux yeux de ses compagnons), Syl, Robert et Julien ainsi que Julien et Robert,

un joli galet orné des cheveux d'une de mes copines sirènes.




Un joli galet pour des petits cailloux...

lundi, juillet 24, 2006

Un spécial Gantures

Mon petit Philippe (je m'avance peut-être sur le "petit" mais voyez-y une marque d'affection, rien de plus),

vous êtes bien délicat ,vos clônes z'et vous-même, de vous être occupés de mon blog pendant mon absence et d'avoir semé sur le net quelques cadeaux pour moi, tels les cailloux heureux d'un petit poucet salvateur.
Je les ai lu, vos cailloux et ils m'ont réchauffé le coeur. Car je n'étais pas si loin que ça, même si j'étais bien silencieuse. En fait, j'étais même tout près, à à peine deux mains de mon clavier d'ordinateur, mais sous l'emprise d'une terrible conscience professionnelle qui m'a attelée toute la semaine à des tâches prenantes, lourdes et usantes au point que j'en ai perdu toute mon inspiration...

Fort heureusement, ma conscience professionnelle n'a qu'un temps et je pense que je vais me calmer un peu. D'ailleurs, ce weekend déjà, avec ma petite famille, je me suis évadée de Paris et de ma prison de travail pour reposer mon esprit parmi les embruns de la Manche. J'ai retrouvé mes copines les sirènes, gambadé parmi les galets de Normandie, bronzouillé sous les falaises de craie et gavé mon cerveau à l'indigestion du bruit lancinant des vagues sur la grève.
Very good, indeed... :-)

je vous ai rapporté un petit cadeau,
en remerciement des cailloux.
Mais ce sera pour tantôt :
il est resté à la maison, ce ... bijou!
(les rimes, j'en abuse trop,
mais c'est tellement chou...)

vendredi, juillet 07, 2006

J'l'aimais bien, mon métro...
J'crois bien que j'l'aimais trop
Alors d'accord, y sentait pas vraiment très bon
Et puis c'est vrai personne y souriait jamais

Mais...

Mais dans l'métro
y'a des arrêts qui sont plein d'toupet,
y font le strip tease, manque pas d'air

et nous, nous ça nous change d'air :


Y'a Arts et Métiers....

qui s'est fait belle
pour nous faire réver,
de cités obscures, ou bien éclairées???



Cluny-La-Sorbonne
Qui s'est pomponnée
pour nous faire voler,
vers les inspirés.


Champs-E. Clémenceau
qu'apporte la lumière
d'un voisin Palais
aux fonds métropolités

et c'est sans compter :
Louvre-Rivoli, qui s'fait antiquaire,
Gare De Lyon qui s'fait jardinière,
Luxembourg, en hotesse de l'air....


Oui dans l'métro
y'a des stations
qui s'déshabillent puis qui s'rhabillent
au dernier cri de la French touch.


et Y'a aussi celles (les traitresses)
qui pour quelques jours s'maquillent
d'un outrancier DaVinci Code, DisneyLand ou Bouygtel,
mais celles là point n'en parlerai pour n'pas déprimer!!!!

vendredi, juin 30, 2006

Que ce monde est étrange... Diantre!

Ce matin, je n'étais pas très réveillée. Encore à moitié embarquée dans le doux monde des songes, j'oubliai d'endosser ma cuirasse, préalable indispensable à tout périple dans le métro. C'est ainsi qu'au rythme de mes déplacements, mon esprit s'est engourdi dans la folle cadence des panneaux publicitaires et lorsque j'arrivai enfin au bout du tunnel, je me sentais exsangue : amoindrie de m'entendre répéter les "occasions à ne rater sous aucun prétexte" des innombrables soldes généreusement dispensées à mon porte-monnaie, spectrale à force d'égarer à chaque détour de couloir les "cm en trop" imposés par les journaux féminins, perdue d'avoir à subir en rafale les tentatives de substitution d'un bonheur impersonnel et tout "sourire, plus blanc que blanc".

Heureusement qu'au sortir de ce voyage sous terre, mon ombre dansait gracieusement sur les pavés dans la douceur des rayons du soleil matinal.
Le spectacle était de toute beauté. Le sourire me revint au visage et se répercutant sur tous les murs alentours, me fut rendu à l'infini par chaque visage que je croisai.

j'avais retrouvé la grâce...

lundi, juin 26, 2006

et c'est ainsi que cela continua...















" Fait voir le jeu? " m'avait-dit la diseuse. " Ta Lune, là... Il y a quelque chose de bizarre. "

Elle ajouta après un temps de réflexion :

" Ce tarot vient d'ailleurs. Où l'as-tu donc trouvé? "

" Diseuse " j'ai répondu " je me suis assoupie et dans mon rêve, ai foulé les 4 chemins. Entre ciel et terre, entre feu et eau, c'est la Lune qui me frappa d'un de ces rayons et je crois bien que c'est à ce moment-là que j'ai perdu un bout de raison.

En retour, l'étrange Lune m'a donné ceci. "